Ni d'ève ni d'adam

Par Lecteur En Série



[Éditeur]
Albin Michel
245 Pages
[Parution]
Août 2007


[Auteur]
Amélie NOTHOMB


Ma note perso



La 4ème de Couv.


        « Stupeur et tremblements pourrait donner l’impression qu’au Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d’Ève ni d’Adam révélera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. »


Mon avis à moi !


        Amélie Nothomb est un auteur qui ne peut pas laisser indifférent : une fois lue, on l'aime ou on la déteste. J'en veux pour preuve le nombre incroyable de sites et de blogs qui y vont de leur petite critique (positive ou négative). D'ailleurs, je ne dérogerai pas à cette règle... Mais, avant, je me dois d'être totalement honnête avec vous ! Nothomb, moi, je l'aime beaucoup. Comme Arsenik_, je trépigne tous les ans à l'idée de me mettre un nouveau Nothomb dans les mains.
        Maintenant que le contexte est posé, je vais en venir à ce qui nous/vous intéresse : le roman en lui-même...
        Après Acide sulfurique et Journal d'Hirondelle (que j'ai, par ailleurs, beaucoup aimés), Nothomb renoue avec le "roman autobiographique".
        Dans cet opus, elle nous relate la période de sa vie (précédant et recoupant celle narrée dans Stupeur et tremblements)où, revenue au Japon, elle fait la rencontre d'un étudiant japonais. Rinri, c'est son prénom, est avide de culture occidentale, alors qu'Amélie, elle, est plutôt friande de la culture nippone. Et le récit sera parsemé de ces multiples contrastes culturels, sources de nombreuses situations cocasses...
        Le tout servi par la plume enchanteresse, désormais célèbre, de Nothomb, qui est capable de métamorphoses tous les moindres événements banals en véritable moments délectables.