Il nous sert une bande-son de cinéma en intro, sacrifie au rituel local avec le muddy-blues Way Down South, se fait un petit trip au micro, puis laisse tourner ses talents de compositeur autour d’une chanteuse, dans une atmosphère qui rappelle le travail de Rustin Man avec Beth Gibbons, en plus vitaminé.
La jolie française Emilie Satt, splendide voix et vibrations en stock, laisse éclater son talent sur la seconde moitié du disque, en français (l’excellent Mai) ou en anglais, sur Without Her(th), fascinant bijou aux éclats bristoliens. Classieux.
Alif Tree Clockwork (Compost Records)
Des titres en écoute sur son myspace