Salvador Dali, le terrible

Publié le 16 juin 2009 par Topika

Après les caprices de stars, les caprices d’artistes. Le père du surréalisme, Salvador Dali, en a fait voir de toutes les couleurs au Meurice, l’un des palaces parisiens les plus chics. Obsédé par les animaux, il a demandé qu’un cheval puis qu’un troupeau de moutons soient amenés dans sa suite! Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’hôtel a accepté. Ami des bêtes, le peintre espagnol aimait accueillir des chats sauvages qui affectionnaient faire leurs griffes sur les tapisseries et les moquettes moelleuses de sa suite royale.

Vous pensez avoir tout vu? Détrompez-vous, les employés du Meurice courraient dans le Jardin des Tuileries dans le but de capturer des mouches pour le compte de l’artiste. Et un jour, sur un coup de tête, Salvador Dali convoqua la presse. Devant des journalistes incrédules, il déversa des sacs de peinture du haut de son balcon sur les voitures en stationnement dans la rue. La peinture «explosion» venait de naître.

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