Noeud coulant.

Par Plouf

si mal dans mes chairs, comme une vie d'enfer, commandements de Dieu, utopie: être heureux! dans ce climat de guerre, où l'Homme compte si peu, que sont donc nos galères, dans ce triste univers? J'ai trop pleuré je crois, juste en pensant à çà, où sont tous nos mensonges, qui font briller nos songes, la honte du mauvais, et des actes non-fait, éponges de nos vies, prières non accomplies, et dis moi la zakat, y penses-tu? nous vivons de faux semblants, imprégnés de fausses valeurs et du matériel, on a oublié notre salut et le spirituel, nos vies qui se ressemblent , un noeud coulant qui nous étouffe, et serre au fil des années, comment faire, s'en dépêtrer? Et retrouver l'humilité... peut-être, des maintenant, se remettre à prier.