La Beauce, cette si belle région

Publié le 28 juillet 2009 par Dateurenserie

À la demande générale de 15 personnes (on va dire) et de 200 autres lecteurs silencieux qui ne savent probablement pas comment laisser des commentaires, (c’est bien simple vous cliquez soit sur le titre ou sur le post-it dans le coin supérieur droit et vous descendez au bas du texte. Tout y est.) je vais vous parler de mon aventure avec La Beauceronne. Je vous avais déjà mis sur une piste assez claire en mentionnant qu’elle était fortement axée sur l’acte. Je me doutais bien rendu là qu’assoiffé de sexe comme vous êtes, vous voudriez lire des histoires grivoises.

Alors voilà. Vendredi je devais aller voir une amie à Québec mais elle devait faire acte de présence dans un bar pour une fête et elle était seulement libre à 1h30 du matin. Comme il était 21h, j’avais un bon 2 heures trente à occuper comme je le voulais avant mon « départ officiel » à 23h30. Si nous sommes tous allés au même cours de mathématiques nous devrions arriver à la même réponse. Mais comme nous ne sommes pas tous allée à même école de la vie j’ai vu ce moment libre comme une occasion de rencontrer une fille du coin. Vous auriez fait quoi d’autre, hein?

Sur MSN, il n’y avait que La Beauceronne en ligne. Si se planifier une rencontre avec elle a toujours été un vrai casse-tête, ce vendredi a été aussi simple que:

- Je m’en vais à Québec, je passe te voir?
- Ouais!
- Tu es seule chez toi?
- Ouais!

Et je suis parti en trombe chez elle. La Beauce c’est loin. Je pensais que c’était tout près de Québec. Un bon 45 minutes de plus. Sur la route – je sais que ce n’est pas prudent – elle me textait des trucs plutôt osés pour augmenter ma hâte d’arriver ou rendre la route plus interminable, c’est selon.

Après une heure de bitumes entourés de champs et de pancartes vertes annonçant les kilomètres restants qui s’écoulaient au compte-goutte, je suis finalement arrivé dans son stationnement et elle m’a ouvert la porte. Elle portait un déshabillé rouge. Elle n’avait visiblement pas envie de perdre son temps et comme le mien était compté, c’était bien parfait. Je lui ai retiré si rapidement que je ne suis même plus certain s’il était rouge. Je me suis vite rendu compte que la porte-patio donnant à la rue était grande ouverte. Prêt à faire des folies oui, mais pas me donner en spectacle aux voisins. Désolé au gens de la Beauce.

On s’est dirigé vers la salle de bain où je l’ai assise sur le comptoir. L’inventeur de ces comptoirs devait être un pervers de cinq pieds et neuf pouces. En tout cas, moi je l’ai vite compris que j’arrive JUSTE à la bonne hauteur. Par la suite, nous sommes allés sous la douche pour compléter ce que nous avions commencé. Pour terminer le tout dans son lit. Ce que j’ai vraiment aimé d’elle c’était l’impression de la connaître sur ce plan depuis des années. Comme si on avait déjà atteint le summum du premier coup.

Comme ce n’est pas un blogue érotique je ne rentrerai pas dans les détails mais tout ce qu’un gars vous a déjà demandé de faire et qui vous avait fait sourciller et bien elle, elle le faisait sans mots dire.

C’est pour cette raison que la Beauce mérite maintenant mon admiration. Pour ces Beauceronnes!

D.