« clotilde reiss »,un affront de la dictature d'iran à l'occident

Publié le 10 août 2009 par Mj1729

« CLOTILDE REISS »,UN AFFRONT DE LA DICTATURE D'IRAN À L'OCCIDENT

CLOTILDE REISS SERA-T-ELLE GRACIÉE EN DEMANDANT PARDON AU TYRAN  AHMADINEJAD ?

Sans aucun droit à une assistance consulaire de l'Ambassade de France et subissant d'énormes pressions psychologiques, Clotilde Reiss est jetée en prison et commise d'office «Coupable d'avoir participé pacifiquement aux manifestations postélectorales d'Iran, d'en avoir pris des photos avec son portable et d'avoir envoyé un e-mail à un correspondant à Téhéran pour raconter objectivement ce qu'elle avait vu à Ispahan, même assimilée à une tentative d'espionnage», un véritable cauchemar pour une banale citoyenne en poste dans ce pays, ainsi qu'une dizaine de ressortissants britanniques dans la même situation et surtout pas de commune mesure avec la façon dont sont traités les plus graves terroristes de l'Islam, pas même les criminels musulmans de nos prisons en Europe.

Ils risques de cinq ans d'emprisonnement, voire la peine de mort, s'ils devaient être reconnus coupables d'être des « ennemis de Dieu »... !

Pas de doigté ni de gants blancs pour nos ressortissants européens innocents dans ce pays sous la rage islamique et dont le régime des Ayatollahs en a vite fait les « têtes de turcs » désignés, car tout ce qui est contraire, opposant au régime, est un ennemi de Dieu... !

Ce que l'Islam appelle la tolérance à l'égard des mécréants de la trempe de Clotilde Reiss, aimant pourtant ce pays qui l'avait conquis pour sa culture perse, n'a aucune commune mesure avec les moyens de défense du droit international !

CLOTILDE REISS, lectrice à l'université d'Ispahan en Iran âgée de 24 ans, obligée de demander pardon, "n'est coupable de rien du tout", elle fait l'objet d'accusations montées en spectacle et d'allégations fallacieuses, une manipulation montée de toute pièce pour lui incriminer une responsabilité aux côtés des émeutiers, pour provoquer la démocratie occidentale, tout simplement, malgré l'intervention de l'Union européenne qui demande sa libération immédiate, mais non entendue.

La pression internationale est insuffisante depuis sa détention à la prison d'Evine du 1er juillet dernier suite à son arrestation à l'aéroport de Téhéran.

Qu'attend la Communauté Internationale pour aider la France dans ses démarches fermes visant à exiger la libération immédiate de Clotilde Reiss et de prendre des mesures immédiates d'expulsion de tous les ressortissants musulmans indésirables en Europe, contraire à nos principes démocratiques?

C'est l'été, mais pas de relâche pour la liberté de paroles et d'expressions, alors que nos politiciens font les cigales au soleil et semblent désintéressés de la captivité d'une européenne française non coupable qui comparaissait samedi devant le tribunal révolutionnaire à Téhéran à côté du journaliste iranien Ahmad Zeidabadi connu pour ses prises de position virulente contre les réformateurs(en audience fermée à la presse étrangère) pour sa participation à la contestation du régime en place lors de manifestations, en fait pour avoir pris des photos  et la rédaction d'un rapport d'une page pour un institut de recherche dépendant de l'ambassade de France.

Le président français Nicolas Sarkozy, clame à tout va, de faire de la libération de Clotilde Reiss une priorité, il n'en fait pas autant que pour la mascarade de la libération d'Ingrid Betancourt, l'une de ses spécialités médiatiques, pourtant le cas de l'emprisonnement de la jeune ressortissante française mérite sinon plus d'attention, elle a le besoin d'attirer toutes les interventions internationales de tous ceux qui peuvent exercer une influence" sur l'Iran en vue de sa libération et de celle de milliers de militants de l'opposition.