Andriy

Publié le 12 août 2009 par Joss Doszen
Les piqures, les snifs me donnaient des ailes ; j'étais un nuage qui résidait en Olympie où l'eau ne pouvait me noyer. Dix, vingt, trente ; que m'importait le nombre de trous que j'avais l'impression d'avoir sur ma peau car elle avait encore assez d'espace pour une autre clef, une de celles qui ouvrent la porte de l'oubli. J'avais l'impression de perdre mon souffle, que mes os flanchaient. Je me perdais dans une impasse ; la poudreuse obstruait tous les pores de ma vie. Elle m'emportait vers l'œil (...) - 3200. Le clan Boboto