« Je suis venu à Montréal quatre ou cinq fois dans les trois dernières semaines, et les amateurs ne cessent de me dire qu’ils sont déçus de mon départ. »
« Je ne peux être heureux de la tournure des événements. Ce n’est jamais évident de quitter une organisation avec laquelle tu as passé plusieurs saisons. Ça n’a pas été facile quand j’ai quitté New York et Pittsburgh, mais le feeling est différent cette fois-ci. »
« De jouer pour cette ville et pour ces fans, et de sentir leur support… C’est sûr que j’ai été déçu. Je croyais rester avec le Canadien. »
« Je ne veux pas entrer dans les détails, mais je ne suis pas prêt à dire qu’on a pris un pari. Des gens ont dit que mon agent était à blâmer, mais ce n’est la faute de personne. »
« Avec le Canadien, il n’était pas autant question d’argent que d’années de contrat. J’aurais voulu rester là le plus longtemps possible, mais le Tricolore n’offrait pas plus que deux ans. De mon côté, je désirais demeurer à la même place pour trois ou quatre ans. »
« Après une semaine sur le marché des joueurs autonomes à attendre la bonne offre, j’ai compris qu’aucune équipe ne me ferait une offre de plus de deux ans. »
« Ottawa était en quelque sorte mon dernier choix car autrement, je me serais probablement retrouvé ailleurs avec une entente d’une seule saison. »
« Je savais quel genre de direction l’équipe allait prendre, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de changements. Bob (Gainey) m’avait dit qu’il y aurait des changements lors de notre fameuse marche près du fleuve. Il m’avait dit qu’il voulait peser sur le bouton reset et trouver de nouveaux joueurs. »
« C’est très important qu’il y ait un capitaine à Montréal parce que ça donne aux journalistes quelqu’un à qui parler après les matchs. »
« J’ai beaucoup joué avec Andrei au cours des deux dernières années et je sais à quel point il déteste mal jouer. Quant à Sergei, je le connais un peu moins. Les deux sont talentueux, mais ils doivent s’assurer d’être concentrés sur le hockey. »
Kovalev a même pensé garder sa famille à Montréal, même si lui serait à Ottawa.
« J’ai pensé à mes enfants et aux amis qu’ils s’étaient faits à l’école, mais en fin de compte, ç’aurait été trop étrange d’être loin de ma famille. »
« Mes enfants m’ont demandé s’ils pouvaient aller à l’école en patinant sur le Canal Rideau! »
« Si je l’avais su d’avance, j’aurais organisé le tournoi de golf de ma fondation un peu plus tôt, avoue-t-il. Le camp d’orientation se déroule du 30 août au 1er septembre et j’aimerais bien me tailler une place sur l’équipe, surtout que ça pourrait être ma dernière chance de participer aux Jeux olympiques… »
« J’ai toujours dit que j’aimerais terminer ma carrière à Montréal. Peut-être que je reviendrai dans deux ans. »