Dès les toutes premières mesures du motet d’introduction Recatio pro filio Regis, le climat intimiste de ces pièces s’impose comme une évidence, et la belle musicalité des voix (Edwin Crossley-Mercier / basse et Anne Magouët / dessus) retient tout de suite l’attention.
Je vous renvoie à la chronique que j'ai faite sur ce disque pour ClassiqueInfo-disque.com.
Ci-dessous, un très court extrait :