Esthetes au carre

Publié le 06 septembre 2009 par Nicole Guichard

Bauhaus, esthètes au carré  A Berlin, MODEL BAUHAUS retrace les quatorze années de ce mouvement pluridisciplinaire. L’année 1919, durant laquelle fut créé le Bauhaus à Weimar, est une année zéro pour l’Allemagne… La Première Guerre mondiale est perdue, des millions de jeunes gens morts pour une patrie écartelée par le Traité de Versailles… Les années qui s’ouvrent, celles de la République de Weimar, déboucheront sur la dictature nazie. Années de crise économique et de misère, ce sont aussi des années de créativité débridée et de fol espoir pour les artistes.


Voulons, concevons et créons ensemble la nouvelle construction de l’avenir, qui embrassera tout en une seule forme, architecture, art plastique et peinture ; qui sera brandi vers le ciel par les mains de millions d’artisans, tel le symbole en cristal d’une nouvelle foi à venir. Le manifeste du Bauhaus, rédigé en 1919 par l’architecte Walter Gropius, fondateur de l’école, témoigne de cette exaltation. Nathalie Versieux-Libération-27/08/09-Lire la suite...

Bauhaus, esthètes au carré  A Berlin, MODEL BAUHAUS retrace les quatorze années de ce mouvement pluridisciplinaire. L’année 1919, durant laquelle fut créé le Bauhaus à Weimar, est une année zéro pour l’Allemagne… La Première Guerre mondiale est perdue, des millions de jeunes gens morts pour une patrie écartelée par le Traité de Versailles… Les années qui s’ouvrent, celles de la République de Weimar, déboucheront sur la dictature nazie. Années de crise économique et de misère, ce sont aussi des années de créativité débridée et de fol espoir pour les artistes.


Voulons, concevons et créons ensemble la nouvelle construction de l’avenir, qui embrassera tout en une seule forme, architecture, art plastique et peinture ; qui sera brandi vers le ciel par les mains de millions d’artisans, tel le symbole en cristal d’une nouvelle foi à venir. Le manifeste du Bauhaus, rédigé en 1919 par l’architecte Walter Gropius, fondateur de l’école, témoigne de cette exaltation. Nathalie Versieux-Libération-27/08/09-Lire la suite...