«Guy, ceux qui abandonnent les chiens ne deviendront jamais des étoiles. Adieu mon grand. Bon voyage.»
Au lieu d'être entendu sur toute la planète, Nipi (qui signifie «eau» en innu) a plutôt résonné dans un petit bar de la rue Prince-Arthur, à Montréal, devant une cinquantaine de proches, de journalistes et de clients, dont quelques joueurs de vidéopoker concentrés sur leur machine.
«Je perds un ami et une lecture mondiale de mon poème, mais le poème est à moi et il va passer à l'histoire quand même», a-t-il dit.
Nipi, dont l'histoire débute dans l'espace, raconte l'inquiétude des astres et des planètes pour la planète Terre et ses réserves d'eau.
Pour article complet voir La Presse
Source La Presse
Morale de cette histoire : « Le partage de la richesse n'existe que dans la mesure ou le riche reste riche et le pauvre reste pauvre » d'un inconnu ou pour reprendre mes ancêtres amérindiens « les blancs ont la langue fourchue , on les a accueillis et ils nous ont tous pris ».