Adieu Willy

Par Ibars
Adieu, Willy Ronis
Tu avais déjà rangé ton appareil photo, depuis quelques années, clic-clac merci Ronis, tu vas rejoindre Boubat, Doisneau, Cartier-Bresson, ces monuments français d'une certaine photographie humaniste, cette photographie qui aime les gens, tout simplement. Tu as accroché à tout jamais tes clichés magnifiques dans notre musée imaginaire et c'est pour cela que tu es, comme Boubat, comme Doisneau, Comme Cartier-Bresson, simplement immortel. J'ai pu de toi faire cette image il y a deux mois et je savais qu'en la faisant, elle serait la dernière. Adieu, merci.