Le PDG de Nestlé qui a ajouté que son groupe avait choisi la Suisse pour sa « sécurité légale » a regretté les récentes « pressions extérieures sur la Suisse et des pressions populistes à l’intérieur, nous avons pu constater que le gouvernement et le parlement se sont empressés de montrer leur disposition à modifier les lois». Une allusion à peine voilée aux noms de propriétaires de comptes que la Suisse a révélé au Fisc américain. Preuve en est que tout le monde n’est pas prêt à jouer le jeu de la refondation du capitalisme.