Une faute personnelle a mis en cause l'un des deux employés de la société délégataire, Véolia Propreté, et les responsables de la CASE ont décidé de passer un accord nouveau avec la société interdisant (la loi existe déjà) ces rejets et surtout obligeant le délégataire à diriger les déchets vers des stations spécialisées. Il faut savoir que ni la station d'épuration de La Haye-Malherbe ni celle de Louviers ne sont équipées pour traiter des déchets liquides contenant des hydrocarbures. La CASE a même prévu des contrôles inopinés mais il faudra des moyens humains pas forcément suffisants en nombre aujourd'hui.
Malgré les cris d'orfraie du président de la CASE, nous avons donc eu raison de rendre public un acte illégal et compris comme tel. Il est même étonnant que le président n'ait pas pris l'initiative de rendre publiques les analyses et les mesures destinées à éviter la répétition de faits suffisamment graves qui méritaient d'être mis à la connaissance des citoyens et des usagers.