Voilà ce qu’en dit la 4e de couverture :
« Elle s’appelle Emma Bovary et son histoire est célèbre. Amoureuse de l’amour, elle a vécu d’illusions, trompé son mari et ruiné son ménage. Dans un geste de désespoir, elle se tue en absorbant une forte dose d’arsenic – c’est du moins ce que prétendra Flaubert. Or c’est un fait reconnu que l’arsenic, en une seule prise, n’est presque jamais mortel…
Voici ce qui s’est réellement passé : au chevet de la jeune femme, cieux médecins ont été appelés. L’un, le docteur Canivet, relève des traces discrètes de contusions ; l’autre, le professeur Larivière, pourra témoigner des derniers mots chuchotés par Emma : « Assassinée, pas suicidée. » Deux policiers de Rouen sont dépêchés à Yonville afin d’élucider l’affaire. Et les voilà bientôt nantis de plusieurs suspects possibles : un mari cocufié, un prêteur sur gages, deux femmes de caractère, un cynique libertin, un pharmacien concupiscent… «
Outre une écriture de qualité et une histoire qui oscille entre humour et sérieux, j’ai trouvé que ce livre était vraiment réussi. La lecture est agréable, et il n’est nullement indispensable d’avoir avalé l’oeuvre originale de Flaubert pour en profiter. J’ai trouvé cette plongée dans un monde littéraire, dans une oeuvre, très agréable. Une expérience originale, une histoire bien construite et surtout une véritable enquête criminelle ! Qui a tué la belle Emma Bovary ? Voilà la question à laquelle répond cet opus. Car c’est bien connu, l’arsenic ne tue pas en une prise. . .
Ma Note : 16/20