Aprטs deux mois d’accalmie l’affaire Bastareaud revient sur le tapis. C’est aujourd’hui que doit se rיunir la commission composיe d’au moins cinq membres ayant des compיtences d’ordre juridique et dיontologique pour statuer sur le sort du plus cיlטbre blessי de l’histoire du rugby pro.
Avant mךme le verdict de la commission de discipline filtre l’information que celle-ci risque de dיcider de...ne rien dיcider. Parce qu’en l’absence de toutes preuve - la table de nuit, prיsentיe comme la cause de l’agression, n’ayant toujours pas parlי - toutes sanctions prononcיes risqueraient d’ךtre invalidיes par un tribunal.
En consיquence tout ce que risque Bastareaud c’est de ne pas ךtre sיlectionnי en יquipe de France avant la fin de la prochaine Coupe du Monde qui est organisיe en Nouvelle Zיlande.
Pourquoi ? Pour ne pas faire de la provocation chez nos amis nיo-zיlandais sur le coup profondיment meurtris par le mensonge de Bastareaud qui les a fait passיs pour des sauvages.
Mais quand on ne fait plus grand cas de l’affaire du "Rainbow Warrior" comment imaginer que, deux ans aprטs l’incident Bastareaud, le pays des All Blacks prendrait comme un affront insupportable le retour au pays du long nuage blanc d’un ancien combattant du XV de France ?