«J’ai joué avec des clubs qui changeaient de capitaine à tous les 10 matchs, et ça ne faisait pas sérieux. En fonctionnant comme ça, c’est comme si on lançait le message qu’il n’y a aucun véritable leader dans le club.”
«Un capitaine, c’est très important. C’est le lien entre le vestiaire et le coach, et c’est un joueur qui doit montrer l’exemple aux jeunes, autant sur la patinoire qu’à l’extérieur. On ne s’en cachera pas, le capitaine à Montréal, c’est plus important que partout ailleurs dans la ligue.»
«On le sait que le gars ne parlera pas français, mais il ne faut pas virer fou avec ça. C’est sûr que ça dépend de la situation; si on est capitaine pendant 10 ans, il y a un minimum qui doit être fait pour apprendre la langue.»