Politico Foot

Publié le 02 octobre 2009 par Asiledefoot

Si nos dirigeants politique étaient des clubs de foot… ça donnerait ça :


Nicolas Sarkozy alias l’Olympique Lyonnais :

- Une domination sans partage depuis quelques années peu ou pas contestée.

- Un controle de l’entourage, médias pour l’un, instances et arbitres pour l’autre.

- Des difficultés à s’imposer sur la scène européenne.

Il est petit, teigneux, aime avoir beaucoup d'argent et Wenger le regarde d'un air attendri... et non ce n'est pas Arshavin !



Ségolène Royal alias l’Ajax d’Amsterdam :

- A connu son heure de gloire.

- Bien que populaire, des difficultés à s’imposer dans son propre camp.

- Aime bien les jeunes.


François Bayrou alias les Girondins de Bordeaux :

- Pas vraiment d’engouement populaire mais personne ne les déteste.

- Un côté lisse, plat… centriste en somme.

- Le sud-ouest.


Olivier Besancenot alias le Rubin Kazan :

- Une facheuse envie d’europe de l’est.

- Un coté David contre Goliath, soit face au MEDEF soit face aux clubs de Moscou.

- Le rouge.


Brice Hortefeux alias la Lazio Rome :

- Une haine farouche de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un auvergnat.

- Hormis dans leur propre camp, tout le monde les déteste.

- Condamnés à rester dans l’ombre des leaders de leur parti/championnat.


Bernard Kouchner alias le FC Nantes Atlantique :

- Il y a une dizaine d’années tout le monde les aimait bien.

- Maintenant ils font pitié…