Mike Zeisberger, Toronto Sun : « Dix heures avant le match, Mike Komisarek était déjà prêt à étamper quelqu’un dans la bande. Cet homme, selon Ron Wilson, avait besoin d’être calmé. Le message de Wilson : ‘Ne dépense pas ton énergie avant que l’horloge ait sonné les douze coups de minuit.’ Plus facile à dire qu’à faire. Après la séance d’entraînement en matinée, Komisarek était déjà pompé. Il a répondu à quarante minutes de question en un même matin! »
« Lorsque le match a commencé, il était facile de voir que Komisarek cherchait à envoyer un message à son ancienne équipe, à sa nouvelle équipe et à tous ceux qui regardaient. Il était un Maple Leaf maintenant. Ses jours tricolores étaient derrière lui. Que c’était l’occasion rêvée de faire une première impression. C’est exactement ce qu’il a fait, peut-être pas de la façon dont il l’aurait espéré. À la fin de la soirée, il a été au banc des punitions pendant deux des trois buts marqués par le Canadien en avantage numérique. Le dernier étant celui qui a fait le plus mal. »
« Lorsque la sirène s’est fait entendre, Komisarek avait passé 15 minutes au banc des punitions. Au prorata, il aurait 1 230 minutes de punitions à la fin de l’année. C’est beaucoup de pression pour une unité de désavantage numérique qui a fini au dernier rang, l’an dernier. »
« Wilson ne désire pas que Komisarek remporte le trophée Lady Byng, c’est certain. Mais il faut donner raison à l’entraîneur. Komisarek était possiblement trop énervé, trop émotif. Il a ses bons et ses mauvais côtés. »
Tim Wharnsby, Globe and Mail : « Mike Komisarek a essayé de faire bonne impression, mais il en a trop voulu en faire contre son ancienne équipe. Komisarek a connu un match robuste, mais une performance en dents de scie. »
Damien Cox, Toronto Star : « En première période, alors que les Leafs commençait à tuer la première d’une série de punitions données à Mike Komisarek, Cammalleri a effectué une passe que Gionta a aisément dirigé dans le filet. Inutie de dire à qui la faute. »