Ces violeurs en libertés ne pourrissent pas seulement la vie des petits enfants, mais aussi, celle de leurs parents. En toute impunité, ils sont entrain de tout détruire, eux, pourtant, fil conducteur de l'aventure ambiguë, plus prosaïquement, de la rupture voulue, involontaire, subie et/ou imposée. Suivez mon regard !
En laissant l'hyperagité dondoliner de la tête à satiété, dandiner comme un cabri ici et là, et, gigoter en définitive tel une souris dans un bocal, les pédophiles disent qu'il est ainsi heureux. Heureux ? Pire, comme tout destructeur qui se respecte, ces médias croient qu'ils rendent un bon service. Ne dit-on pas que ces derniers (pédophiles), pensent qu'ils font du bien à leurs victimes ?
Amalgame, parallélisme honteux et maelström élyséen primaire diront les défenseurs aveuglés par la fée médiatique. Que nenni. Les pédophiles des médias imaginent faire du bien au petit Nicolas or, ils le détruisent, l'abroutissent... l'extermine même, à l'insu de son plein gré désormais. Résultat des courses, l'homme ne se remettra jamais en cause.
Après ce brainstorming dominical non-exhaustif, il font quand même avouer que les restants qui représentent 5%, se retrouvent à Marianne, sur le Net et au Canard Enchaîné. Tiens, tiens ? Et oui c'est tout.