Le développement durable est avant tout une affaire de connaissance et de gestion de cellle-ci. Celle-ci regroupe à la fois les données chiffrées des différents indicateurs existants, les informations techniques sur les domaines de spécialisation de chacun et ce qu'on pourrait appeler la « culture écologique », c'est-à-dire la capacité à intégrer ces différents champs en un tout cohérent.
Cette dernière requiert de s'informer de l'actualité en permanence, tant les évolutions s'accélèrent sur tous les thèmes (économique, technique, juridique...) ces derniers temps. Devant cet afflux d'information, le principal reste de garder une vision globale des phénomènes, d'autant que ceux-ci recoupent souvent des thématiques transversales. Par exemple, l'énergie est à la fois une question d'habitat, de transports, de type de ressource, etc.
Ciblez la connaissance
Pour conserver cette vision d'ensemble de votre activité en matière de développement durable, il est nécessaire de disposer d'outils d'analyse adaptés à cette échelle globale. Des indicateurs synthétiques vous permettront de vous faire une première idée de votre situation, et d'agir sur les aspects prioritaires.
Un système d'information bien ciblé en matière de développement durable doit être conçu pour accéder facilement à des informations qualifiées, disponibles sous une forme qui puisse servir l'action (interopérabilité des données). Celui-ci bénéficiera à la fois en interne (formation, knowledge management) et vis-à-vis de l'extérieur. En effet, les publics les plus sensibles aux enjeux du développement durable sont aussi les plus demandeurs d'information de qualité sur le sujet.
Pouvoir offrir une réponse crédible dans ce registre, que ce soit en interne ou à ses clients, suppose donc de s'intéresser au sujet de près...
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