Sortie du livre : les Danguillaume, une des plus grandes familles de cyclistes

Publié le 04 novembre 2009 par Roltiss @roltiss

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Madame, Monsieur,

Permettez-moi de vous faire part de la sortie du livre consacré à la famille Danguillaume et de vous inviter à une dédicace en présence de Jean-Pierre Danguillaume le samedi 14 Novembre prochain à TOURS, dans l'un des deux magasins suivants :

                              Mag'Press : 104 Avenue Grammont de 10h à midi

                              Auchan du Centre Commercial de la Petite Arche à Tours Nord à partir de 14 h.

Je vous serais par ailleurs très reconnaissant, Madame, Monsieur, de transmettre cette invitation aux adhérents des clubs que vous fédérez au travers de votre "news letter" ou de votre magazine, voire du bouche à oreille. N'hésitez pas me contacter ou à solliciter le service communication des Editions Sutton pour toute information complémentaire et/ou toute autre modalité de partenariat : Emilie Bouquet au 02 47 40 66 00.

Avec mes remerciements anticipés,

Bien à vous.

Dominick TROUËSSARD.


Les Danguillaume : une grande famille du cyclisme.

Auteur : Dominick TROUËSSARD

2 Bd BAJON, 86 000 POITIERS : 05 49 60 79 78 – 06 03 45 00 44

Editions : Alan SUTTON, Saint-Cyr-sur-Loire.

Sortie en septembre 2009

ISBN : 978-2-8138-0010-7

Préface de Bernard THEVENET


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Présentation par l’auteur :

Ce livre, intitulé « Les Danguillaume », publié chez Alan Sutton dans la collection Mémoire du Cyclisme, d’un intérêt historique, à mon très modeste avis, ne s’attache pas uniquement au récit de telle ou telle course prestigieuse, fusse t’elle le Tour de France, ni à un des plus célèbres champion cycliste du moment, mais à une famille de cyclistes professionnels hors du commun, dont le talent reconnu unanimement a éminemment fait autorité pendant plus d’un demi-siècle.

Pour résumer le «phénomène Danguillaume» en quelques chiffres et brèves considérations, on peut dire en synthèse de l’essentiel, que les trois générations qui se sont succédées entre 1935 et 1995, ont cumulées ensemble plus de 1 700 victoires, parmi lesquelles, Liège-Bastogne-Liège et le Critérium National remportées par Camille en 1949, puis la très convoitée Course de la Paix, et de nouveau le Critérium National, adjugées à son neveu Jean-Pierre 20 ans plus tard, tout comme quelques prestigieuses victoires d’étape sur le Tour de France, etc, etc….

Mais les séductions, les qualités et l’attraction de cette grande lignée de coureurs ne sauraient se réduire à une simple exégèse de dates, de citations, de palmarès et d’honneurs au détriment d’une pathétique et très attendrissante histoire de famille, avec ses souffrances, ses drames (la mort accidentelle de Camille au cours des championnats de France de 1950), ses rivalités, parfois même ses duels «fratricides», tout en ayant fait montre de générosité, de complicités, d’abnégation et d’une indéfectible solidarité entre pères, fils, frères, oncles, neveux, cousins, beaux-frères, etc.

Cette ivresse amoureuse de la «  petite reine », assise sur des liens entretenus avec constance, soudés à jamais autour d’une fabuleuse histoire d’hommes et d’amitiés, démontrent que la saga « Danguillaume » a incarné, bien au delà de cette rage collective et viscérale de vaincre, une envie forcenée de s’extraire, à la seule force de leurs mollets, de leurs origines prolétariennes ou de s’inscrire dans la noble et fière tradition de leurs pairs.

Ayant valeur d’exemple incontestable, cette famille unie par le sang et les hauts rites du vélo ; une véritable « dévotion » au deux roues, (comme l’a écrit Bernard Thévenet dans sa préface), a régné sur le monde du cyclisme pendant 60 années, marquant de son nom devenu prestigieux tous les membres d’une communauté de cyclophiles à la recherche de la gloire digne des plus nobles chevaliers.

A l’heure où les pelotons se dissolvent, à l’heure des remises en cause dues au progrès qui déstabilise ou modifie trop souvent les traditions, à l’heure où l’argent règne en maître sur le sport, j’espère en toute sincérité que cet ouvrage servira la mémoire des futures générations de coureurs, en leur transmettant le sens des hautes valeurs d’un sport qui est d’éternelle notoriété, un sport qui a toujours exigé le plus de courage, de persévérance, de dépassement, d’humilité et de soutien…

Dominick TROUËSSARD.