Il a trop bu...

Publié le 06 novembre 2009 par Michelmarcel


Car oui, l'alcool doit être consommé avec modération. On l'a tous bien assimilé. Mais de la même manière que tout le monde se cure un peu le nez de temps à autre (quand ça démange trop) alors que l'on sait que ce n'est pas bien. Ca nous arrive également de prendre un ou deux verres de trop par ci par là. C'est "le verre de trop" comme je l'appelle (j'y reviendrai dans un article futur). Alors pour varier un peu vos descriptions de lendemains de soirées, voici 35 façons de décrire l'état d'un collègue qui a eu la main lourde.

O fada il était...

Bourré, torché, beurré comme un petit Lu, pompette, murgé, muflé, gelé, givré, cassé, empégué, frit-confit, rétamé, déchiré, bourré ou pété comme un coing, raide, dans le coma, rond comme une bille, culbuté, blindé, saoul comme un Polonais, pochtronné, rond comme une queue de pelle, cuité, pété, pinté, mûr, chargé, complet, d'équerre, raide comme la justice, bituré, H.S., sous la table, dans le cirage, dans les vapes, démoli, arrangé, sévère.


Et à l'international : Blau sein (allemand), drunk as a lord (british), les dents mélées (Canada), borracho como una cuba (Espagnol), drunk as a skunk (USA), opitý ako prasa (Slovaque), plein comme un vélo (Suisse).