la droite française est une vraie porcherie !

Publié le 12 novembre 2009 par Mister Gdec

Encore un putain d’article certainement trop long pour être lu jusqu’au bout…

Sur l’inélégant sac à vomi actuel  de l’UMP

Ça vomit, ça éructe, ça dégueule, ça glapit et se vautre dans la fange la plus infecte de la délation… Pour s’étaler ensuite en de déplaisantes déjections sur les trottoirs du grand Paris jusqu’à déborder dans nos provinces… Oui, vraiment, ça se répand de partout, dans cette droite immonde, et pas seulement dans n’importe quelle section locale de l’UMP ou du FN ! Non, dans les plus hautes sphères droitières…

Après ce gros nul de Raoult, qui voudrait empêcher les prix Goncourt de s’exprimer autrement que selon le bon vouloir de son altesse sérénissime, et réclame à (gros) corps et à (petits) cris le rétablissement des autodafés à ce brave Mitterand qui s’en rend complice par son silence aveuglant, voici dans l’ épisode suivant de notre monstrueuse porcherie l’impayable Laporte et ses glapissements légendaires.

Non content de bavasser sur ses anciens collègues, ce qui n’est pas très fair-play (mais depuis l’histoire Dati, on savait bien qu’il ne faisait pas dans le velours), cet homme intègre et sportif de haut niveau déballe sec à présent dans son livre à la promotion si bien assurée par la bienveillante attention des médias. Grâce à cet éminent critique de la vie intellectuelle française, on peut ainsi apprendre (c’est écrit partout) que Rachida Dati « est fausse », Bernard Kouchner « condescendant », les « politiques » en général, « des médiocres, des gens lâches, étroits d’esprits et privilégiés ».

Pourtant si l’on se donne la peine de gratter un peu derrière le vernis vendu par les journaux qui ont principalement retenu de ce grand homme là qu’il n’était pas le père de l’enfant de la petite Rachida, on peut également découvrir sans peine que ses » liaisons dangereuses » ne concernent pas Madame Dati autrement qu’en qualité d’ancienne ministre de la justice et garde des sceaux…. Mais en écrivant cela, je ne voudrais pas avoir d’ennuis avec une certaine famille du Var bien connue pour ces activités purement sportives, et ses œuvres de bienfaisance.

Comme nous venons de l’illustrer, Monsieur Laporte est donc bien fondé pour juger de la qualité de ses congénères… Et la gauche gagnerait effectivement à s’attacher les services d’un homme d’une telle moralité, comme nous l’ont si souvent porté à notre connaissance nos gazettes nationales…

Mais ce Monsieur fait pâle figure et de surcroît de seconde main en comparaison de celui qui suit dans notre épopée porcine… Son pédigree prête à froncer le sourcil. Jugez plutôt :

Principaux chefs d’Inculpations : [/source]

- complicité et recel d’abus de biens sociaux dans le transfert du siège de GEC-Alstom ;

- financement illégal de campagne éléctorale, abus de confiance, faux, et corruption passive dans l’affaire du casino d’Annemasse ;

- trafic d’influence aggravé et corruption d’agent public étranger dans l’Affaire Pétrole contre nourriture;

- prise illégale d’intérêt dans l’Affaire de la Fondation Hamon ;

- trafic d’influence dans l’Affaire des ventes d’armes à l’Angola ;

- Recel d’abus de biens sociaux dans l’Affaire de l’Association France Afrique Orient

Notre gros Charles national, puisque c’est lui dont il s’agit, non content de tout faire pour figurer dans le who’s who des plus célèbres malfrats dont le comportement aura tant discrédité la fonction politique, se double à présent d’une tonitruante balance qui se vante un peu trop en voulant « faire sauter la République ». Tonton Charly jette ses boules puantes et ses grenades en noble résistant qu’il n’est plus dans toutes les salles de rédaction de France et de Navarre, sous forme de listes gratinées au bon goût relevé par les noms illustres glanés ici et là : Jacques Chirac, Dominique de Villepin, Jacques Foccart, Bertrand Landrieu, Hervé de Charette et Charles Millon… N’en jetez plus !  Cela devient nauséabond.

Ne manque plus hélas que le doux patronyme de notre atrabilaire névropathe à talonnettes… et notre joie serait complète… s’il n’y avait notre identité nationale.

Non, vraiment, cette France là n’est pas la mienne.