Les Américains demandent une loi favorable aux jeux en ligne

Publié le 20 janvier 2009 par Jedescas

Affirmer que la communauté des jeux en ligne s’est tout simplement réjouit des résultats des présidentielles aux Etats-Unis serait très peu par rapport au vrai impacte de l’événement. Ce n’est aucun secret que la victoire de Barack Obama a apporté un souffle de soulagement parmi les opérateurs de casinos virtuels du monde. Dès la campagne électorale, le président élu des Etats-Unis s’est montré ouvert à une future conciliation des jeux en ligne avec la loi.

A présent, il y a de nombreuses questions urgentes auxquelles Obama doit s’attaquer. Avant tout, c’est l’économie et ce qui pour le gouvernement est une impasse et un défi, pour les investisseurs de l’industrie des jeux est une bonne carte à jouer. Afin de résoudre cette question, le nouveau président pourrait avoir besoin de se tourner vers les casinos virtuels en tant que source de revenus.

Selon les analyses documentées, le potentiel de revenus engendrés par les jeux en ligne est l’un formidable. L’UIGEA sera l’une des principales cibles. Et il y a d’ores et déjà un projet de loi, en train d’être approuvé et qui vise à annuler UIGEA. Le président Obama pourrait être un médiateur dans le débats sur les jeux en lignes, ce qui est de bon augure pour l’industrie.

Obama a déjà établi qu’il veut garder l’internet gratuit. En partie, cela signifie abroger les lois qui visent à supprimer la liberté des entreprises sur l’Internet. Ces jours, il y a eu à Washington une animation qu’on n’a plus vécue depuis longtemps. C’est l’émoi des personnes américaines qui ont le sentiment d’avoir, enfin, une voix. Et l’une de ces voix fait entendre le mécontentement envers la législation en vigueur en matière de jeux. Aux Etats-Unis, il y a des millions de joueurs en ligne et des millions qui le feraient s’ils avaient légalement la chance. C’est là que Obama entre en jeu.

Son administration sera responsable de réparer toutes les erreurs du passé, et l’UIGEA est l’une de ces erreurs. Les citoyens des Etats-Unis n’ont pas demandé cette loi et nombreux sont ceux qui espèrent qu’ils n’auront plus besoin de la respecter dorénavant.