L’OMS a “fabriqué” la panique grippale globale

Publié le 28 novembre 2009 par Alchiemy

La pandémie à propos de laquelle Novye Izvestija a écrit si souvent, est peut-être la supercherie et la corruption la plus ambitieuse de notre époque. Dans tous les cas, l’énorme aspect commercial de la « panique grippale » est déjà évident.
La même conclusion a été faite par des journalistes danois qui ont de façon experte examiné les liens entre l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les multinationales pharmaceutiques, qui se sont enrichies en vendant des médicaments pour contrer la maladie.

Il apparaît, par exemple, que de nombreux scientifiques qui siègent dans divers comités de l’OMS, ont précautionneusement admis le fait qu’ils recevaient de l’argent des géants pharmaceutiques.
Selon la banque internationale d’investissement JP Morgan, l’industrie pharmaceutique va faire plus de 7 milliards d’euros cette années grâce à la vente des vaccins A/H1N1. Les pays occidentaux ont commandé suffisamment de doses pour vacciner soit leur entière population (comme l’Australie), ou un tiers (l’Allemagne et quelques autres Etats membres de l’UE). Les usines fabricant les vaccins et pilules travaillent jour et nuit, en quatre rotations…elles ne connaissent pas la crise économique globale comme certains.

Pour la première fois en plusieurs années la panique a affectée l’UE. Le vaccin a été produit sans le nombre suffisant de tests cliniques et scientifiques. Une telle panique est-elle justifiée ? un nombre croissant de spécialistes ont examinés l’idée en comparant les statistiques de la mortalité issue du virus H1N1 avec ses variétés « conventionnelles ». Globalement, selon l’OMS, 6000 personnes sont décédées de la grippe A, alors que le nombre moyen annuel de victimes pendant les épidémies des variétés grippales « traditionnelles » atteint un demi million.

La principale cause de la réponse hystérique à l’épidémie, selon les reporters du journal danois « Information », n’est pas en raison de sa dangerosité, mais à cause des fortes relations des experts de l’OMS. Certains d’entre eux sont littéralement au service des fabricants de vaccins. « C’est gênant que beaucoup de scientifiques qui siègent dans divers comités de l’OMS soient présentés comme des “experts indépendants”, mais qu’ils admettent le fait qu’ils recoivent de l’argent des compagnies pharmaceutiques”, expliqua aux reporters le Professeur Tom Jefferson, qui travaille pour le Cochrane Center à Rome.

L’OMS annonça l’épidémie sous la pression d’un panel de conseiller, dirigé par un docteur néerlandais, Albert Ostenhaus, surnommé « Dr. Flu » (du nom Tamiflu), car il faisait la promotion de la vaccination de masse via l’OMS et les médias occidentaux. Désormais le gouvernement néerlandais conduit une investigation d’urgence sur les activités du « Dr. Flu », ayant découvert qu’il recevait un salaire de plusieurs compagnies de fabrication des vaccins. Beaucoup de conseillers de l’OMS siègent « sur deux chaises » comme Ostenhaus, et pendant qu’ils s’occupent de la pandémie grippale pour le compte de l’OMS, ils n’aiment pas dire qu’ils sont payés par Roche, RW Johnson, SmithKline et Beecham Glaxo Wellcome, qui se taillent la part du lion des commandes pour la fabrication des vaccins. Le résultat des pressions de ces experts a été la résolution de l’OMS du 7 juillet cette année, qui a appelé le lancement d’une campagne sans précédent de vaccination de masse.

« L’OMS se base sur leurs recommandations – dit le professeur Tom Jefferson – Des mesures d’hygiène normales ont un effet bien supérieur que ces vaccins peu étudiés, et dans le même temps l’OMS parle de l’usage des masques et le lavage des mains comme moyen de combattre la grippe seulement deux fois dans ses documents. Les vaccins et autres médicaments sont référencés 42 fois ! » Le Dr. Jefferson et quelques uns de ses collègues pensent que ces conseillers devraient être enlevés de leurs positions, mais l’organisation n’est pas pressée de lancer une telle réforme. Le porte-parole de l’OMS, Gregory Hertl, commentant un article d’Information (le journal danois), dit qu’il est impossible de renier les services de tels experts sur le seul fait qu’ils ont des intérêts financiers dans la promotion d’une stratégie pour combattre les maladies. Il devrait être noté que ce n’est pas la première année que l’idée de corruption dans les milieux pharmaceutiques a été abordée par les médias occidentaux. Le New England Journal of Medicine publiait “The Whistleblower” il y a quelques années. Dans une série d’articles le Whistleblower montrait la vie secrete de la “mafia médicale”. Selon eux, seulement 11-14% du budget des compagnies pharmaceutiques sont utilises pour la recherché, mais 36% des fonds sont dépensés pour la publicité. L’essentiel de l’argent finit dans les poches de médecins, scientifiques, et sur le compte de diverses organisations travaillant pour la santé.

Sources : Infowars, traduit du russe puis de l'anglais, November 26, 2009 Pour en savoir plus : Tout sur les faces cachées de la "pandémie"