UmarTIMOL (Île Maurice).

Par Ananda

Aphorisme


il suffit de fermer

ses yeux

pour enfreindre la loi du monde




Poème



comment concilier la substance du corps,

dense, gluante, festin des sens,

dont le vouloir semble-t’il est de se déployer dans l’infini

avec les pas feutrés et tortueux de la mort

qui usurpe ce même corps, déracine ses veines,

désagrège sa peau, épure ses viscères, broie ses os

et scelle ses traces dans une pierre d’ombre revêtue

umar