Selon Marlene Johnson d'Hachette Children's Books, « le marché pour les jeunes auteurs a dépéri très vite ». Il devient donc difficile de les lancer. L'éditeur Macmillan quant à lui a réduit sa production jeunesse d'un tiers de manière à mettre « plus d'énergie » dans les titres qu'il propose, selon Emma Hopkin qui dirige la branche jeunesse.
En ce qui concerne, les ouvrages scolaires l'inquiétude aussi est présente. Marlene Johnson indique que c'est un secteur « incroyablement touché ». Elle évoque les problèmes de budget des écoles et des bibliothèques mais aussi la pression « devenue beaucoup plus intense » d'internet dans ce domaine.