Michel Daerden et Di Rupo (PS) « saoulent » les médias et le peuple.

Publié le 11 janvier 2010 par Mj1729

Michel Daerden et Di Rupo (PS) « saoulent »

les médias et le peuple.



Dur retour à la réalité en 2010, alors que la crise va en effet frapper plus durement encore qu'en 2009, un record de chômage (10% dans la zone euro) et une perte accrue de croissance au milieu des mensonges des économistes et de chiffres économiques peu stables et rassurants, proches de nouvelles bulles financières en constitution et des mêmes erreurs des banques qui se reposeront à nouveau  sur le dos de l'endettement public, mais en attendant confirmation de ces réalités de la crise qui ne fait que se développer et s'accentuer, nous assistons à une belle démonstration d'incapacité du pouvoir au sénat de nos politiciens qui n'en ont rien à cirer des responsabilités de bonne gouvernance et du parler juste, cependant haut lieu des débats d'une nation, du moins dans ce qu'il en reste dans sa déliquescence européenne de Maastricht et de la confiscation de la "vox populi" .

Une leçon d'exemple unique chez nous, une douce folie du PS qui  ne semble pas trop s'inquiéter de la situation gravissime de la crise économique du pays, sans oublier la démagogie pour ne pas dire tromperie transversale de la sécurité sociale sur le Fonds de vieillissement (les pensions) qui est une coquille vide et précisément dans le chef de ce moqueur public qu'est Michel Daerden, il faut en rire, dit-il: "Il n'y a pas d'alcool, il n'y a pas de moquerie, simplement la volonté de bien faire". "Qu'est-ce qu'elle veut, la Flandre ? Que les ministres francophones parlent néerlandais. J'ai fait toute ma réponse en néerlandais. Et après ça, on dit que je suis saoul. C'est à mourir de rire"


Mais il n'y a pas de danger que le ministre des pensions, Michel Daerden, s'exprime dans la transparence et l'honnêteté, la tromperie de l'Etat, en délivrant un message faussement rassurant, visant à faire croire aux gens que le financement des pensions sera assuré à postériori.

La réalité, c'est qu'il n'existe aucune réserve financière affectée aux pensions de demain !»

Comprenne qui pourra, alors que sur papier le Fonds affiche un joli portefeuille : 13,124 milliards d'euros placés fin novembre 2009; ou 16,839 milliards d'euros en comptabilisant les intérêts. Soit, aux échéances finales, un magot déjà disponible de 21,8 milliards, mais cet outil démagogique repose sur des techniques totalement artificielles banalisée en opération de marketing politique du « zilverfonds » ou « fonds argenté »  des pensions de demain, alors que cette cagnotte n'existe pas car assimilée aux déficits budgétaires successifs.

Michel Daerden préfère cacher la vérité aux futurs pensionnés en faisant le pitre au sénat, plutôt que d'expliquer clairement que ce Fonds est privé de recettes depuis 2007 et dont on vient aussi de découvrir tardivement qu'il a été partiellement utilisé par le gouvernement Verhofstadt II, qui lui a subtilisé 738 millions d'euros pour éponger une ardoise budgétaire en 2003-2004.

 Un comportement vraiment digne de la médiocrité naturelle des élus de cette nation basée sur l'hypocrisie et le mensonge permanent, ceux qui n'ont en réalité pas le cerveau en place pour assumer des fonctions d'hommes d'Etat, tant qu'ils demeureront au pouvoir, le peuple courra à sa perte, certes  il y a de la réserve, il y a encore beaucoup de marge de manœuvre en s'accrochant au pouvoir dogmatique des quatre partis régnants dans l'indifférence totale et la corruption organisée (le PS étant le n°1 en la matière depuis le système carolo), dans les pertes économiques et fiscales, c'est de toute manière les trois-quarts de la population qui trinqueront encore avant de passer ces « politicons » à la trappe et que l'Etat ruiné puisse se redresser sans eux, car ils ne sont vraiment pas indispensables, mais ils continuent à faire de bons simulacres durant la crise, pas seulement depuis 2008, mais depuis  ces dernières décennies ,au vu du chômage structurel conséquent, il y a ceux qui vivent bien dont les politiciens, leurs comparses argentiers pour qui ils décident (15% des nantis de la population)  et le restant de la majorité du peuple à la traine et en difficulté, bien entendu faussement riche par surendettement !


Pour le PS, toute cette polémique autour de la "Daerdenmania", "le Gainsbourg de la politique", n'est qu'une tempête dans un verre d'eau, mais ce sont ces politiciens continuellement plébiscités par un peuple aveugle qui poursuivent la sape socio-économique de tout un pays, accompagné des autres partis traîtres qui vident conjointement et progressivement le pays de sa substance ; tous les indicateurs de l'économie, de l'emploi et de mauvaise gouvernance leurs sont attribués, les réalités du pays le démontrent quotidiennement depuis les prisent de paroles que ce soit du CD&V de Van Rompuy-Leterme, du PS de Di-Rupo-Demotte en passant par le CDH Milquet-Lutgen, d'Ecolo les moins expérimentés Javeau-Turine et du MR ultralibéral des Reynders-Michel qui chapeaute l'ensemble, la coalition des partis-frères de l'inaction et du désaveux politique ; un panier de crabe en vérité qui n'a toujours pas compris ou faisant semblant de dissimuler la réalité à leur avantage politique que la Belgique est à la merci d'une Europe souveraine et immobile, destructrice de tous les acquis d'après-guerre sous la tutelle de l'oligarchie financière et spéculatrice, mais eux rassurez-vous s'en mettent plein les poches... !

Au-delà de ce qu'a révélé la fameuse vidéo au sénat qui peut paraître anecdotique et de ce qu'un ministre fédéral, idéalement bilingue non sans être ridicule linguistiquement parlant, doit remplir ses fonctions avec dignité, comme l'a déclaré le Premier ministre Yves Leterme (s'il est amène à donner par lui-même des leçons de moralité sur la fonction ministérielle), le ministre fédéral en charge des Pensions, Michel Daerden (PS), accusé par la N-VA d'avoir été" saoul" lors de son intervention en néerlandais au Sénat jeudi  dernier et son président du parti socialiste,


Elio Di Rupo qui fait grise mine pour sa rentrée politique qui sonne faux en donnant l'alarme sociale sur les allocations de chômage et l'augmentation du coût de la vie excessive qu'il souhaite voir mieux contrôlée, sans solution alors que toutes décisions appartiennent à son parti et ont été approuvées, ont à tout le moins décrédibiliser une nouvelle fois toutes les actions louables du parti socialiste depuis ses 125 ans, mais n'oublions jamais se sont les travailleurs du passé qui ont participé au développement du pays et non ces oripeaux politiciens de la défaite générale de toutes nos valeurs sociales de notre société en crise.

Pour le socialiste Di Rupo, il faut, dès le prochain ajustement budgétaire, accorder la priorité à l'augmentation des revenus de remplacement "là où les gens ont des difficultés", aux revenus des plus faibles comme les pensions les plus basses, aux revenus sociaux inférieurs à ce qu'on appelle le seuil de pauvreté, mais avec quels moyens budgétaires sinon que de poursuivre l'endettement, sans relance économique perceptible de plus de 1%, sans sortie définitive du chômage structurel des 750.000 chômeurs annoncés dont 167.000 chômeurs économiques temporaires non repris dans les chiffres, sans compter les chômeurs âgés et les jeunes en formation et en attente...

De toute manière en attendant le nouveau krach financier et la déglingue comparable de 1929, la faillite du système mondial profitera de toute manière aux spéculateurs de tout bord dont nos politiciens qui auront engrangé suffisamment d'argent pour passer agréablement la fin du capitalisme en attendant la renaissance d'un autre monde économique et si le mouvement  américano-français Solidarité et Progrès de  Lyndon LaRouche et Jacques Cheminade avait raison, car après l'effondrement du capitalisme impérialiste, il y a assurément une vie meilleure après le redressement de tous et la mise à mal et définitive de cette tyrannie grotesque de nos politiciens avec pour exemple les Michel Daerden et Di Rupo qui feraient mieux de faire immédiatement un pas d'écart, la supercherie n'a que trop duré... ?


La triple courbe et Rosa Luxemburg
par Solidarite_et_Progres