En lisant Carmilla, le célèbre roman gothique de Sheridan le Fanu, je tombais sur ce passage où le père de la narratrice se remémore spontanément des vers du Marchand de Venise: «Vraiment j’ignore pourquoi je suis si triste, cela me pèse, et voici que cela vous pèse aussi ; mais comment l’ai-je gagné, trouvé, rencontré…». Assez surpris par cette [suite...]