Chénier, Epîtres, II, Ami, chez nos Français

Par Actualitté
Passons aujourd’hui à un extrait poétique. Je vous propose de relire quelques vers tirés de l’œuvre d’André Chénier (1762-1794). Il s’agit de sa deuxième épître, commençant ainsi, « Ami, chez nos Français ma muse voudrait plaire… ».
Cet extrait est intéressant à plus d’un titre, mais il nous permet surtout de mieux cerner les théories poétiques de ce poète prématurément disparu. Voici donc ce qu’il nous dit de l’imitation.