Lancement, point, hauteur, apogée, terrain, brai, poix, boniment… ton, longueur, degré de pente, baratin publicitaire, pas, tangage, tout ça pour dire « pitch » selon le traducteur de Google.
Je vais donc dire pitch — ce sera plus simple — et vous le donner : dans deux semaines et deux jours, mon nouveau roman policier
« La commissaire n’aime point les vers » sera disponible en librairies, il est temps de le présenter.
J'ai tapé pitch en
recherche d'images, dans Google, et j'ai trouvé ce visuel. Ce doit être chouette, un pitch, chez Monsieur et Madame Google.
"La commissaire n'aime point les vers" vient de sortir des presses, il est beau, il sent bon. Et le tout premier critique à l’avoir lu le trouve bon. Alleluia !
Si bon qu’il en a fait une demi-page dans le numéro de Livres-Hebdo qui vient de sortir. Vous ne trouverez pas Livres-Hebdo en kiosque, mais c’est très important pour un auteur,
Livres-Hebdo : c’est le magazine de référence des éditeurs, des libraires et des professionnels du livre.
Pour ne pas vous étouffer, j’attendrai quelques jours avant de vous présenter cet article : d’ici là, mon ego aura peut-être dégonflé.
Assez causé, le pitch, le pitch ! Le voici en version longue.
Un SDF qui ressemble étrangement à Victor Hugo se fait assassiner en tentant d’apporter à l’Académie française un sonnet inédit et torride qui ressemble étrangement à du Baudelaire. Le poème se transforme vite en serial killer, envoyant à la morgue ceux qui s’y intéressent. Qui va hériter de cet empoisonnant dossier ?
Ce sera évidemment la commissaire Viviane Lancier, qui n’est guère portée sur la littérature. Elle a suffisamment à penser avec son métier, ses problèmes de surcharge pondérale et ses régimes aussi décevants que ses amours..
Flanquée d’un ingénu lieutenant, aussi beau
qu’ahuri, elle va plonger dans une trouble enquête où elle verra défiler des clochards, des académiciens, un collectionneur érudit, des ministres,
une cupide veuve, des graphologues, une voyante qui fait parler les morts, un fabricant de blocs à lécher, client assidu des strip-tease, beaucoup de journalistes qui veulent tous les jours du
nouveau. Et bien sûr le tout-puissant patron de la P.J. qui veut des ré-sul-tats... vous m'entendez, Viviane ?
Voilà, vous savez tout sur ce roman. Inutile de le lire, vous pouvez déjà en parler autour de vous.