Mon marque-pages n'a pas dépassé la 72 (il m'en restait 30 à lire, mais je n'ai pas pu, mais vraiment pas pu !)
Il paraît (4ème de couverture) qu'il faut "entrer dans l'univers de Roald Dahl où chaque éclat de rire est suivi d'un grincement de dents !".
Alors, pour les éclats de rire... ben, je ne dois pas avoir le sens de l'humour.
Quant aux grincements de dents... ben, j'avais du déposer mes prothèses dans mon verre, sur la table de nuit.
Ni l'un ni l'autre !!! Un profond ennui m'a saisie plusieurs soirs de suite (parce que j'ai un peu de constance et d'opiniâtreté) jusqu'à ce que je déclare forfait.
Au début - mais vraiment au début - j'ai pensé que c'était une tentative de pastiche de Maupassant et que j'allais finir par y trouver la petite lueur qui allait me mettre dans le plaisir. Non ! rien de rien ! Pas de Maupassant en vue !
Il y est question (en vrac) d'usine d'asticots, de rats, de course de lévriers...
Quand je pense que c'est le même auteur qui a écrit CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE, JAMES ET LA GROSSE PÊCHE, CHARLIE ET LE GRAND ASCENSEUR DE VERRE... ça coince dans mes neurones !
Dans "mes livres à lire", il y a MATILDA ; je vais attendre un peu pour me me débarrasser de cette mauvaise impression.