Invictus pas convaincant

Par Cdsonline

Nelson Mandela félicitant François Pinaar, après la finale victorieuse des Boks sur les Blacks en 1995.

C’était pour nous le film le plus attendu de l’année.
Pensez-donc : une histoire mettant en scène Nelson Mandela – personnage d’exception s’il en fût !– sur un “background” de rugby, la Coupe du monde de 95 précisément, qui outre le sacre des Springboks, a offert en direct à près d’un milliard de téléspectateurs les images (et le son) du premier président Noir d’Afrique du Sud unanimement acclamé par un stade à très forte majorité blanche : NEL - SON ! NEL - SON !
On allait bien se régaler…

Et d’un certain point de vue, on n’a pas perdu notre temps, on a même passé un bon moment, rassurez-vous !
Car si pour Hegel un portrait réussi devait transcender toute reproduction pour révéler l’intérieur de son personnage et «ressembler plus à l’individu qu’il représente que l’original lui-même», on peut dire que Morgan Freeman filmé par son pote Clint Eastwood est Mandela, plus que Mandela lui-même…
Oui mais alors?
Il y a un mais

La suite à venir… peut-être ! :-)