Et d'ajouter : « Il est scandaleux que les auteurs et les éditeurs indiens soient contraints de faire partie d'un accord qui a été négocié en leur nom par quelques éditeurs, sans aucune représentation de leurs intérêts.
En outre, les spécificités de l'accord n'ont pas été communiquées aux parties concernées. Nos objections sont centrées autour de ces questions et nous sommes particulièrement impatients de ce que l'audience de la mi-février dira. »
Un de plus, donc.