S'affranchir en banlieue, ou mourir, selon Didier Daeninckx

Par Actualitté
J'suis snob... hein, hein... c'est vraiment l'seul défaut que j'gobe... Ça demande des mois d'turbin, c'est une vie de galérien, mais quand j'sors avec Hildegarde, c'est toujours moi qu'on r'garde...
J'suis Snob... Foutrement snob...
Et ainsi de suite, et je ne peux que t'inviter, oui, toi, lecteur, mon hypocrite semblable qui n'a pas relu Baudelaire hier soir (et je te comprends, à chaque jour suffit sa peine), mais qui se souvient toujours avec un sourire amusé des chansons de Boris Vian, eh bien justement à les redécouvrir, ces chansons...
Probablement parce qu'elles n'ont aucun rapport avec le livre d'aujourd'hui, mais que la chronique m'a donné envie de réécouter encore un peu de Boris... Puisqu'il est l'heure, je vous propose de retrouver L'affranchie de banlieue, de Didier Daenincks.