Félixeries…

Publié le 16 février 2010 par Lawrence Desrosiers

♦ «  Il a eu son gros contrat du gouvernement, je suis bien content pour lui. » Et dans son œil il y a de l’envie et de la colère.

♦ « Cher maître, je voudrais que mon fils devienne un acteur. Si vous trouvez qu’il n’a pas assez de talent, on peut sûrement avoir une lettre du député. »

♦ Un matin on se réveille, on tire les rideaux et c’est la neige dehors. Je me touche le cœur qui bat comme une vieille montre en santé. Je suis heureux de vivre, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’un matin…

♦ Il neige. Du duvet d’oreiller.

♦ Il rentrait beaucoup d’insouciance dans sa joie de vivre : elle ignorait la date de naissance et l’âge de ses enfants.

♦ Il se rase sans miroir. Il dit qu’il sait ça par cœur.

♦ Salé comme une larme.

♦ On court à celui qu’on aime. À celui qui nous aime, on marche.

Le calepin d’un flâneur, Félix Leclerc

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