lu dans la presse
Cela se passe en Angleterre.
Madame C.... risque l'enfermement !
Elle vient d'être condamnée à 8 semaines de prison avec sursis, sentence qu'elle devra puger à la première récidive.
Cette condamnation pour cette femme de 48 ans est liée à un problème de voisinage.
Une plainte a en effet été déposée contre elle et son mari pour trouble à l'ordre public.
Que je vous explique :
Mme C... vit "bruyamment" ses ébats sexuels avec son mari, à tel point que ses voisins ne supportent plus !
Dans un premier temps le couple a reçu une mise en demeure pour calmer ses ardeurs. L'avertissement ayant été sans effet, une ordonnance pour "trouble à l'ordre public" a été émise à leur encontre. Sans succès.
Pour se défendre, l'accusée argumenta son droit "au respect de la vie privée et familiale", mais ses voisins ne l'entendaient (si j'ose dire) de cette oreille, qualifiant les ébats "d'anormaux", ils couvraient le son de la télévision, certains pensaient même que quelqu'un se faisait assassiner !
Cela débutait en général vers minuit et durait 2 à 3 heures.
La municipalité a installé un appareil de mesure chez un des voisins : 47 décibels !
Au tribunal, Mme C... expliqua qu'elle ne pouvait pas se réfréner et, pour calmer les esprits, décida de faire l'amour dorénavant le matin pour ne réveiller personne.
Rien n'y fit et la condamnation tomba.
Pourvu qu'à la St Valentin, Mme C... ait su garder son calme !