Bogousslavsky : chic, le sursis !

Publié le 19 février 2010 par Kalvin Whiteoak

On est ravis pour lui ! il pourra lire tranquillement et méditer sur la justice téléphonée des ventripotents hommes de robes vaudois.

Il pourrait même reprendre la Librairie Ségalat, pour montrer qu’il s’est amendé.

Car selon les membres de la cour, pour lui « l’appât du gain facile motivait tout autant l’intéressé que sa passion des livres« . Ce qui évidemment démontre un brillant caractère et explique le sursis, quand on pique pour 5 millions dans la caisse.

Qui a parlé de justice de complaisance et à trois vitesses ? on espère qu’il soignera désormais à l’œil les voleurs de poule condamnés eux à du ferme … car les juges eux sont atteints d’une maladie rédhibitoirement incurable.