Myspace Suicide d'une adolescente

Publié le 18 novembre 2007 par Damien Ravot
Il y a quelques mois une adolescente s'est suicider parce que sa mère ne voulait pas qu'elle aille au concert de Guns N Roses en Argentine....et bien aujourd'hui c'est à cause de Myspace qu'une fillette s'est suicidé. "Megan Meier ,une adolescente âgée de 13 ans qui vivait à Dardenne Prairie, une petite ville de l'état du Missouri (USA), dans la banlieue de St Louis. Elle était dépressive et supportait mal sa surcharge pondérale. Nous sommes en octobre 2006. Depuis six semaines, Josh, un garçon de 16 ans qui dit habiter dans son quartier, lui a demandé d'être son ami sur MySpace.
Mi octobre 2006, les messages de Josh deviennent désagréables. Selon Ron Meier, le père de Megan, cité un an après, par la presse locale, un message dit "Tout le monde, dans le quartier, sait comment tu es. Tu es méchante et tout le monde te hait. Tu as une vie minable. Le monde serait un endroit plus agréable sans toi."
Le 16 octobre, Megan aurait demandé à sa mère de lui donner accès à son compte MySpace, au moment où celle-ci devait sortir pour accompagner son autre fille chez le dentiste. Megan aurait voulu savoir si elle avait d'autres messages désagréables. Cela aurait été le cas. Sa mère serait partie en oubliant de fermer l'accès au compte MySpace de sa fille, mais en lui demandant de se déconnecter. Un quart d'heure plus tard, Megan aurait téléphoné à sa mère, en pleurs, expliquant que plusieurs messages parlaient d'elle en termes très grossiers. Sa mère serait rentrée et aurait trouvé sa fille devant l'ordinateur. Sa mère lui aurait reproché de répondre agressivement aux messages reçus.
L'adolescente serait montée dans sa chambre à l'étage, où sa mère l'aurait retrouvée pendue 20 minutes plus tard. Six semaines plus tard, les parents de Megan apprennent par un voisin, que c'est une voisine, la mère d'une ancienne amie de Megan, qui a ouvert ce compte MySpace en se faisant passer pour un garçon de 16 ans. Ceci, aurait-elle déclaré à la police pour savoir ce que la défunte disait de sa fille. Une enquête est en cours, mais aucune poursuite n'a été engagée pour l'instant."
(source Pointblog)