Avril 2007, Faudel soutient Sarko au meeting de Bercy. Après quelques tentatives de suicide et un séjour en hôpital psychiatrique, il tente de se refaire la cerise en sortant un album de retour aux sources. “J'étais l'arabe de service” confie-t-il en évoquant son ralliement à qui vous savez. “J'ai cru au père Noël”, ajoute-t-il, totalement écœuré par le puant débat sur l'identité nationale.
Clavier en pince pour Sarko. Il souligne son “extraordinaire capacité d'écoute“. Fin août 2008, des indépendantistes occupent sa villa corse. Le chef de l'état vire illico le monsieur sécurité de l'île et en fait tout un pataquès. Depuis, une quinzaine de gendarmes est payée uniquement pour se relayer et garder, de jour comme de nuit, sa propriété. L'acteur, jadis très populaire, enchaîne depuis bide sur bide au cinoche.
Johnny, quant à lui, autre fan du roitelet, a failli laisser sa peau à Los Angeles et à la Saint Sylvestre tandis que mon Basilou, ex-gloire des crampons encarté UMP, est placé en garde à vue pour fraudes fiscales en novembre dernier… Bizarre, vous avez, bizarre ?
Zappons sur Barbelivien, Mireille Mathieu et Macias, autres people sarkophiles, ils étaient déjà has been avant l'élection du lider minimo. Notons cependant qu'Enrico est désormais ruiné suite à des spéculations financières en Islande. Y aurait-il un zeste de morale en ce bas monde pourrave ? Existe-t-il une malédiction sarkophage ? Toute célébrité qui aurait fait campagne pour l'agité neuillien deviendrait-il automatiquement obsolète ou mal en point ?