Jean Reno

Publié le 12 mars 2010 par Cinephileamateur
Cinéphile du jour, bonjour !!! Nouveau mois et nouvelle personnalité. Déjà à l'affiche le mois dernier dans "Thérapie de couples" (24 février) et en début d'année dans "Blindés" (13 janvier), j'ai décidé d'enfin parler de Jean Reno ce mois ci qui est l'un de mes acteurs français préférés. En mars, on le retrouvera également à l'affiche de "La Rafle" (10 mars) et de "L'Immortel" (24 mars). Pour savoir deux ou trois petites choses au sujet de cet acteur et connaitre mon avis, je vous invite à cliquez sur "Lire la suite"...
"Le cinéma, c'est avant tout un vecteur de partage : ça ne peut pas être fait que pour quelques initiés."
Comme toujours mais je le précise quand même au cas ou, je ne suis pas journaliste donc ce qui sera écris sur ce billet sera issu de plusieurs sites Internet mais mes sources sont cités en bas de pages. L'appréciation que je donne sur cet acteur plus bas est en revanche personnelle cela va de soit et n'engage que moi ;-)
VIDEO JEAN RENO


Biographie :

Jean Reno, de son vrai nom Juan Moreno y Herrera-Jiménez ou Juan Moreno Herrera, (né le 30 juillet 1948 à Casablanca) est un acteur français.
Né de parents andalous ayant fui en Afrique du nord pour échapper au franquisme, Jean Reno suit les cours du Conservatoire de Casablanca avant de s'installer à Paris en 1970. Il fait ses débuts au cinéma en 1978, en tant que figurant dans "L'Hypothèse du tableau volé" de Raoul Ruiz. Sa rencontre en 1980 avec Luc Besson, alors premier assistant sur "Les Bidasses aux grandes manœuvres", s'avère décisive. Le réalisateur l'engage pour "L'Avant dernier" (1981), un court métrage qui préfigure "Le Dernier combat", tourné en 1983. Luc Besson lui confie ensuite un petit rôle dans "Subway" en 1985, avant de le retrouver dans "Le Grand bleu" (1988) et "Nikita" (1990) et d'en faire le héros de "Léon" en 1994.
S'orientant à l'aube des années 90 vers la comédie populaire, Jean Reno entame une fructueuse et lucrative collaboration avec Christian Clavier, lui donnant la réplique à cinq reprises, dans "Opération corned-beef" (1991), la saga moyenâgeuse des Visiteurs ("Les Visiteurs", "Les visiteurs 2" et "Les Visiteurs en Amérique") et "L'enquête corse" (2004), adaptation de la célèbre bande dessinée de Pétillon. Faisant figure de grand balaise et de dur à cuire dans les films à tandem, il a pour partenaires de jeu Patrick Bruel dans "Le Jaguar" (1995) et Gérard Depardieu dans "Tais-toi !" (2003), deux longs métrages signés Francis Veber. En 2001, il tente une incursion dans la comédie sentimentale avec "Décalage horaire".
Parallèlement à ses gros succès hexagonaux, Jean Reno fait partie, à l'instar de Gérard Depardieu, des rares acteurs français à avoir mené une véritable carrière outre-Atlantique. C'est ainsi qu'il "s'habitue à la machine hollywoodienne" en rejoignant l'équipe de choc de "Mission : impossible" (1996) de Brian De Palma, en combattant le "Godzilla" (1998) de Roland Emmerich et en jouant les espions aux côtés de Robert De Niro dans "Ronin" (1998). De retour en France, il s'immerge dans l'univers de l'écrivain Jean-Christophe Grangé en prêtant à deux reprises son physique massif au commissaire Pierre Niemans dans "Les Rivières pourpres" (2000) et sa suite "Les Anges de l'apocalypse" (2004) et en affrontant "L'Empire des loups" (2005) de Chris Nahon.
Après avoir tourné pour l'Italien Roberto Benigni dans "Le Tigre et la neige" (2005), il enchaîne immédiatement deux productions hollywoodiennes en 2006 avec "La Panthère Rose", où il incarne le gendarme Ponton, et le "Da Vinci code" de Ron Howard, adaptation du best-seller de Dan Brown.
Après la sortie de "La Panthère Rose 2" en 2009, il apparaît début 2010 dans deux productions françaises : "L'Immortel" de Richard Berry et "La Rafle", film de Roselyne Bosch qui met en scène la rafle du Vel' d'hiv'. Jean Reno y partage l'affiche avec Mélanie Laurent et Gad Elmaleh. Il continue à participer par ailleurs à de nombreux projets américains dont "Blindés" de Nimrod Antal et "Margaret" de Kenneth Lonergan, où il joue aux côtés de Matt Damon.

Quelques informations en vrac :

Les parents de Jean Reno, originaires d'Andalousie - son père était de Sanlúcar de Barrameda et sa mère était de Jerez de la Frontera - ont fui le régime de Franco. La famille s'installe ensuite en France en 1960. Après avoir accompli son service militaire en Allemagne, Jean Reno, de retour en France, se lance dans une carrière de comédien, montant une compagnie théâtrale avec Didier Flamand.
Jean Reno a été nommé trois fois pour le César du meilleur acteur ; deux fois pour un premier rôle grâce à "Léon" et "Les Visiteurs", ainsi qu'une fois pour un second rôle dans "Le Grand Bleu".
Star en France et aux Etats-Unis, Jean Reno possède également une très grande notoriété au Japon où il à de nombreux fans.
Avant de confier le rôle à Hugo Weaving, la production du film "Matrix" aurait proposé le rôle du célèbre Agent Smith à Jean Reno.
Jean Reno a été marié 3 fois et a 5 enfants :
  • Geneviève de 1977 à 1991, période durant laquelle il a eu 2 enfants (Sandra, née en 1978 et Michael, né en 1980)
  • Nathalie Dyszkiewicz, mannequin, de 1996 à 2001, dont il a eu 2 enfants (Tom, né en 1996, et Serena, née en 1998),
  • Zofia Borucka, mannequin, auteur de chansons et comédienne britannique depuis le 29 juillet 2006 avec laquelle il a eu un petit garçon en 2009, Célio. Ses témoins étaient Nicolas Sarkozy et Johnny Hallyday.

Catholique, Jean Reno est membre de la Fondation Abbé Pierre. Il est également le parrain de l'association « Enfance et partage ». Par ailleurs, il a déjà chanté à deux reprises avec Johnny Hallyday, pour les 85 ans de Charles Aznavour et pour Les Enfoirés.
Il mesure 1 mètre 88.
Outre les familles Sarkozy et Hallyday, Jean Reno compte comme amis proches Muriel Robin, Ron Howard, Charles Aznavour, Elton John,et Vanessa Paradis.
En 2003, Jean Reno à été fait Officier de l'Ordre national du mérite.
En 2008, il est devenu Officier de la Légion d'honneur.
Jean Reno à déjà prêté sa voix à des films d'animation. Il à aussi prêté sa voix à des jeux vidéos dont les deux adaptations sur console de la franchise cinématographique des Visiteurs ("Les Visiteurs" et "Les Visiteurs : "La Relique de Sainte Rolande") où il donne sa voix au personnage de Godefroy de Montmirail (personnage qu'il à incarné au cinéma) ainsi que dans le jeu "Onimusha 3" où il prête sa voix au personnage de Jacques Blanc.
Jean Reno parle quatre langues. Français et anglais bien sûr mais aussi espagnol et italien.
Son nom est mentionné dans la chanson "Cosmopolitan" interprété par Vincent Delerm (chanson et artiste dont je suis loin d'être fan soit dit en passant mais ça reste juste mon goût ;-) ).
Jean Reno à été au célèbre Cours Simon.

Filmographie :

  • Margaret (prochainement) de Kenneth Lonergan
  • L'Immortel (2010) de Richard Berry (Charly Matteï)
  • La rafle (2010) de Roselyne Bosch (Le Docteur David Sheinbaum)
  • Thérapie de couples (2010) de Peter Billingsley (Marcel)
  • Blindés (2010) de Nimrod Antal (Quinn)
  • La panthère rose 2 (2009) de Harald Zwart (Le gendarme Gilbert Ponton)
  • Le premier cercle (2009) de Laurent Tuel (Milo Malakian)
  • Cash (2008) de Eric Besnard (Maxime (Dubreuil))
  • Souris city (2006) de David Bowers et Sam Fell (Voix V.F. de Ze Frog)
  • Da Vinci Code (2006) de Ron Howard (Bezu Fache)
  • Flyboys (2006) de Tony Bill (Le Capitaine Thenault)
  • La panthère rose (2006) de Shawn Levy (Le gendarme Gilbert Ponton)
  • Le tigre et la neige (2005) de Roberto Benigni (Fouad)
  • L'empire des loups (2005) de Chris Nahon (Jean-Louis Schiffer)
  • Hotel Rwanda (2005) de Terry George (Le Président de Sabena Airlines)
  • L'enquête corse (2004) de Alain Berbérian (Ange Léoni)
  • Les rivières pourpres 2 - Les anges de l'Apocalypse (2004) de Olivier Dahan (Le Commissaire Pierre Niemans)
  • Tais-toi ! (2003) de Francis Veber (Ruby)
  • Décalage horaire (2002) de Danièle Thompson (Félix)
  • Rollerball (2002) de John McTiernan (Alexi Petrovich)
  • Atlantide, l'empire perdu (2001) de Kirk Wise et Gary Trousdale (Voix V.F. de Vincenzo)
  • Wasabi (2001) de Gérard Krawczyk (Hubert)
  • Les Visiteurs en Amérique (2001) de Jean-Marie Poiré (Thibault)
  • Les rivières pourpres (2000) de Mathieu Kassovitz (Le Commissaire Pierre Niemans)
  • Ronin (1998) de John Frankenheimer (Vincent)
  • Godzilla (1998) de Roland Emmerich (Philippe Roaché)
  • Les Visiteurs 2 - Les couloirs du temps (1998) de Jean-Marie Poiré (Le comte Godefroy de Montmirail)
  • Pour l'amour de Roseanna (1997) de Paul Weiland (Marcello)
  • Les sœurs soleil (1997) de Jeannot Szwarc (Un spectateur)
  • Un amour de sorcière (1997) de René Manzor (Molok)
  • Mission impossible (1996) de Brian De Palma (Franz Krieger)
  • Le Jaguar (1996) de Francis Veber (Jean Campana)
  • Par-delà les nuages (1996) de Michelangelo Antonioni et Wim Wenders (Carlo)
  • French kiss (1995) de Lawrence Kasdan (Jean-Paul)
  • Les truffes (1995) de Bernard Nauer (Patrick)
  • Porco Rosso (1995) de Hayao Miyazaki (Voix V.F. de Porco Rosso)
  • Le Roi Lion (1994) de Roger Allers et Rob Minkoff (Voix V.F. de Mufasa)
  • Leon (1994) de Luc Besson (Leon)
  • Les Visiteurs (1993) de Jean-Marie Poiré (Le comte Godefroy de Montmirail)
  • La vis (1993) de Didier Flamand
  • Paranoïa (1993) de Stéphane Gateau et Frédéric Forestier
  • L'opération Corned beef (1991) de Jean-Marie Poiré (Le capitaine Philippe Boulier alias le Squale)
  • Loulou Graffiti (1991) de Christian Lejalé (Pique la lune)
  • Nikita (1990) de Luc Besson (Victor le nettoyeur)
  • L'homme au masque d'or (1990) de Eric Duret (Le Père Victorio Gaetano)
  • Le Grand Bleu (1988) de Luc Besson (Enzo Molinari)
  • I love you (1986) de Marco Ferreri (Le dentiste)
  • Zone rouge (1986) de Robert Enrico (Leccia)
  • Subway (1985) de Luc Besson (Le batteur)
  • Strictement personnel (1985) de Pierre Jolivet (Le détective Vilchez)
  • Le téléphone sonne toujours deux fois (1985) de Jean-Pierre Vergne (L'homme de confiance de Marraine)
  • Notre histoire (1984) de Bertrand Blier (Un voisin)
  • Allô Béatrice (1984) (Série télévisée - Saison 1 épisode 2) (Le directeur des Trépassés)
  • Signes extérieurs de richesse (1983) de Jacques Monnet (Gérard Gratch)
  • Le dernier combat (1983) de Luc Besson (La brute)
  • La passante du Sans-soucis (1982) de Jacques Rouffio et Jacques Kirsner
  • On n'est pas des anges... elles non plus (1981) de Michel Lang
  • L'avant dernier (1981) de Luc Besson (La brute)
  • Les Bidasses aux grandes manoeuvres (1981) de Raphael Delpard (Le Lieutenant Zag)
  • Voulez-vous un bébé Nobel ? (1980) de Robert Pouret (Bernier)
  • Clair de femme (1979) de Costa-Gavras
  • L'Hypothèse du tableau vole (1978) de Raoul Ruiz

Théâtre :

  • Les grandes occasions (2006) de Bernard Slade adaptée par Danièle Thompson, mise en scène Bernard Murat
  • Montserrat (1991) de Jean-François Prevand
  • Andromaque (1987) de Roger Planchon
  • Terre étrangère (1984) de Arthur Schnitzler, mise en scène Luc Bondy
  • La manufacture (1981) de Didier Flamand
  • Société Un (1979) de Didier Flamand
  • Je romps et ne me plie pas (1979) de Loïc Fremont
  • Celimare le bien aimé (1978) de Andreas Voustinas
  • Ecce Homo (1978) de Didier Flamand
  • Prends bien garde aux zeppelins (1977) de Didier Flamand


Quelques citations de Jean Reno :

"Le cinéma, c'est avant tout un vecteur de partage : ça ne peut pas être fait que pour quelques initiés."
"On n'est jamais abouti. Il y aura toujours quelque chose à faire, une autre couleur à visiter."
"Il y a deux choses difficiles à faire dans la vie : vivre à deux et avoir des enfants. Le reste est relativement facile."
"L'homme est l'animal qui met le plus de temps à se nourrir par lui-même."
"L'adultère, j'appelle ça la stéréo. Moi, ça me gonfle, je n'ai jamais été en stéréo."
"Après "Le Grand Bleu", j'avais disjoncté. J'étais un légume. J'étais gavé d'argent, de femmes et d'hôtels. Je me suis ressaisi, j'ai relu Victor Hugo, retrouvé le sens du détail et des grands sentiments."

Avec Gérard Depardieu, Jean Reno est sans nul doute mon acteur français préféré. C'est aussi l'un des meilleurs acteurs de sa génération qui, même si il n'as pas joué que dans des chefs d'œuvres cinématographiques, me fait toujours déplacé en salles les yeux fermés. Bien avant que ma cinéphilie en tant qu'amateur naissent, je dois à cet acteur quelques uns de mes plus beaux souvenirs liés au septième art. C'est ainsi que si "E.T. : L'extra-terrestre" est le premier film que j'ai vu (c'était en VHS ;-) ), mon premier vrai film de cinéma c'était "Le grand bleu". A l'époque de sa sortie en salles, j'avais 4 ans mais j'avais eu la chance de le découvrir sur grand écran 2 ou 3 ans plus tard à peine près de chez moi et je me souviens encore de cette expérience mémorable. Bien que secondaire, j'ai tout de suite apprécié le jeu de cet acteur que je trouve charismatique et qui en plus de son jeu dégage un quelque chose d'imposant qui marque ses personnages. Peu de temps après, je retrouvais le comédien dans trois autres films qui au delà de leurs qualités et leurs défauts respectifs m'ont plu et m'ont marqué pour différentes raisons. Il y eut d'abord "L'homme au masque d'or", que j'avais découvert à la télévision et qui m'avait scotché gamin. Avec le recul, le film m'apparait certes léger mais il m'as tant touché plus jeune (au point qu'il en été peut être même devenu l'un de mes films cultes) que maintenant je prend toujours autant de plaisir à le revoir même si il à fallu que l'on me le grave car le film reste introuvable en dvd (du moins jusqu'à présent ;-) ). Ensuite, il y à eu "Les Visiteurs" qui fait partie de ses comédies françaises dont je ne me lasse pas et qui à continué d'accentuer la notoriété de Jean Reno avant d'arriver au mémorable "Léon" où l'acteur n'as jamais autant donné ses lettres de noblesses à un personnage. Le film continue d'ailleurs de marquer les esprits et aujourd'hui encore, il nous ait impossible de nous imaginer quelqu'un d'autre que Jean Reno pour incarner le rôle titre. En quatre films, Jean Reno s'est hissé parmi les comédiens que j'affectionne le plus. Bien sûr, il n'est pas le seul responsable de la réussite de ses films à mes yeux mais sa façon d'interprété ses rôles ont suffit pour qu'il rentre dans mon panthéon personnel et que je lui accorde ma confiance au cinéma. Indirectement, c'est aussi grâce à des acteurs comme lui que j'aime le cinéma :-) .
Après, je ne dis pas que Jean Reno à fait un parcours sans faute bien au contraire. D'ailleurs, à force de le suivre les yeux fermés, j'ai parfois été déçu par certains de ses films comme "L'empire des loups" et parfois même, plus que le film, j'ai été déçu par sa prestation comme pour le "Da Vinci code" mais à chaque fois malgré tout je veux lui faire confiance car je sais qu'avec un bon scénario et une bonne direction d'acteur, Jean Reno est capable de nous scotché à notre siège en quelques secondes. De plus, quand on regarde la richesse de sa filmographie, on ne peut que se douter qu'il y ait eu quelques ratés. Après tout, rare sont les acteurs qui après une cinquantaine de films à leurs actifs peuvent se vanter d'avoir tourné que dans des chefs d'œuvres mais à chaque fois que je le découvre dans un nouveau rôle, je retrouve dans son regard une certaine conviction dans ce qu'il fait, une détermination qu'il fait avec passion. Je peux me tromper et mon ressenti est peut être trop exagéré mais je trouve qu'il prend du plaisir la plupart du temps à jouer et cela me plait beaucoup. De plus, même si celle ci n'est pas aussi longue que sa carrière cinématographique, sa carrière théâtrale reste aussi intéressante et montre qu'à plusieurs reprises le comédien à voulu franchir un cap et prendre des risques. Je ne pourrais pas parler malheureusement de ses différentes pièces car j'en ai vu aucune mais je trouve qu'un acteur qui retourne à ses racines pour redevenir un comédien et prend de tels risques alors qu'il n'en a pas forcément besoin, en tant que spectateur ça me rassure et ça me plait.
Qu'elle soit française ou américaine, sa carrière est excellente et même si il peut être critiqué injustement parfois, je reconnais que dans d'autre cas cela peut être mérité mais Jean Reno fait parti de ses acteurs qui me font rêver et aimer le cinéma. Il fait parti de ses "gueules" qui en impose et dont je trouve que le cinéma manque cruellement parfois. Je regrette que la plupart de ses rôles récent soit un peu trop léger (même si j'attends pas mal de "L'Immortel" et "La rafle" ;-) ) mais je continue de rester un fidèle fan. Comme tout Homme, il à ses qualités et ses défauts mais il reste toutefois un acteur exemplaire. De plus, ça n'influence pas mon avis sur son travail, mais il y à une de ses citations qu'il à donné au magazine Ciné-Live en 2001 et que je reprends assez souvent car elle correspond à mon idée du cinéma c'est : "Le cinéma, c'est avant tout un vecteur de partage : ça ne peut pas être fait que pour quelques initiés.". Quoiqu'il en soit, Jean Reno fait parti de ceux à qui je voue un culte au cinéma et un de ceux à qui je n'aurais de cesse de dire merci. Merci de continuer de faire vivre ma passion de la sorte et merci pour ses souvenirs cinématographiques. Un excellent acteur, pas toujours mis à son avantage, qui nous fait prendre du plaisir à aimer le septième art :-) .
Les sources :