The final note about “the ugly truth”

Publié le 25 mars 2010 par Yannick Manuri

Vous avez été nombreux à lire et commenter mon dernier billet sur la vérité-choc des quotidiens, merci pour votre interaction !

Au-delà du titre provocateur, vous avez rapidement remarqué que le contenu n’est pas nécessairement négatif envers l’industrie des quotidiens.

Tel que mentionné dans mon dernier billet, The reality is that print newspapers reach 45-55%* of adults on any given day. All things considered, in an increasingly fragmented market, that figure is pretty honourable.’

Alors soyez rassurés, nous croyons toujours au potentiel actuel des quotidiens…So you can cancel the hit job on my head

Espresso Média croit que :

  • Les quotidiens demeurent un média de masse et un moyen de communication très efficace
  • Les quotidiens demeurent une référence et une source d’information sur plusieurs sujets dont l’actualité
  • Les quotidiens demeurent un incontournable pour certains plans média, selon les objectifs à atteindre

D’ailleurs, plusieurs points soulevés lors du débat furent très intéressants et concluent bien cette conversation :

1- We live in a world of ANDs, no longer ORs (Luc Cormier)

Le monde des ET nous oblige à rejoindre la cible différemment.

Par exemple : acheter La Presse ET le Journal Métro…

Par exemple : acheter La Presse et Cyberpresse.ca

Bref, on s’ajuste selon la consommation de notre cible tout en se faisant une petite idée de ce que l’avenir apportera comme nouvelles opportunités.

2- Future of plateforms (Pierre Arthur)
Cibler les consommateurs est de moins en moins basé sur un profil socio-démo, mais plutôt sur un profil de centre d’intérêts et donc des plateformes et des propriétés.

Par exemple : l’intérêt pour les nouvelles et l’actualité = multiplateformes : quotidiens imprimés, le web et le mobile

Par exemple : Une propriété multiplateforme (Télé, magazine et web) pour rejoindre les enfants et leurs mamans : Yoopa

3- L’accès à l’information…and information is knowledge (Line Boutin)

Au-delà de notre intuition de professionnels média, nous avons les bases de données de recherche. Je suis la première à utiliser ces bases de données pour trouver des précisions, des ‘insights’, des arguments pour appuyer nos recommandations et même nos négociations. Ça vaut de l’or ! Nous payons pour accéder à ces bases de données, c’est donc à notre avantage et celui de nos clients d’utiliser cette ressource si riche en information…Knowledge is power.

Merci encore pour votre intérêt !