Je vous propose de commencer gaiement cette nouvelle semaine printanière. Voici un petit extrait de l’œuvre de François de Malherbe (1555-1628). Cette chanson débute par le vers suivant : « Sus, debout, la merveille des belles ! »
On y découvre un visage peu familier du poète : il ne s’agit plus ici de poésie officielle, Malherbe se plaît à badiner. On y retrouve un regard épicurien porté sur la nature. Le poète rêve d’aller se promener au sein de cette nature accueillante.