Parmi les ombres II

Par Plouf

Et là tu es parti sur les voies étoilées

Au firmament doré des ombres jusqu’ ici

J’ai cru te reconnaitre toi l’homme si parfait

Malgré ta quarantaine toi tu viens quémander !

Alors quoi penser ? Quoi dire en vérité ?,

Etait-ce donc un rêve ou la réalité ?

Mais devant tes enfants qui sont grands tu le sais,

Tu peux être heureux si tu peines la nuit ?

Et si croiser l’un d’eux frisait l’hypocrisie ?

Le père et le fils tous les deux embarqués,

La rafle policière venait de s’activer !

Ils furent les premiers à être emmenés

Ils se sont regardés d’un regard secret,

Et fuyant la lumière (ils voulaient se cacher) !