A la dérive (Gatsby)

Par Rose
&Le soir avant de partir, j’avais eu du mal à l’abandonner (Vanessa m’avait bien dit qu’elle l’adorait). Gatsby le Magnifique accompagna  merveilleusement le trajet en avion vers l’Espagne, créant une sorte de bulle d’insouciance et de légèreté (factice et éphémère). On voyait de la neige, en bas, mais j’étais pas loin de New York, un été étouffant des années 20.