Ce rythme, cette façon de faire avec la physique des mots, nous accusent. De quoi ? De ne pas penser, de ne pas vivre, de répéter des clichés d’actualité, des bobards, des lâchetés, des fausses croyances, des malveillances, des insignifiances.
Ce rythme, cette façon de faire avec la physique des mots, nous accusent. De quoi ? De ne pas penser, de ne pas vivre, de répéter des clichés d’actualité, des bobards, des lâchetés, des fausses croyances, des malveillances, des insignifiances.