Je vois une certaine
disposition des toits à travers la fenêtre, au dernier étage de la bibliothèque. Et derrière, la mer que longe une plage pendant quelques temps, jusqu’à la caserne militaire qu’heureusement je ne
vois pas.
Et puis le soir tombe. Un jour est fini. Les insatiables parcelles du temps se complaisent dans
leur anthropophagie.