«Tout ça, c'est en application de la loi»
Hier, l'ancienne ministre du Logement du gouvernement Fillon a défendu la mission sur les «conséquences sociales» de la mondialisation que lui a confiée l'Elysée, se défendant qu'il s'agisse du prix de sa discrétion.
Cette rémunération s'ajoute à son indemnité de conseillère générale des Yvelines (environ 2 600 euros par mois) et sa retraite de parlementaire (1986-2010, environ 6 000 euros par mois), comme l'a révélé un peu plus tôt LeMonde.fr, pour un total net de près de 18 000 euros par mois. De quoi donner quelques aumônes à l'église lors des sorties dominicales.
Elle a naturellement écarté l'hypothèse de démissionner.
Une "putain de bonne question" : Serait-elle la seule a profiter des largesses du gouvernement ?