Eric Woerth démissionne sous la pression du Bistrot

Publié le 28 juin 2010 par Bravepatrie

Les récentes révélations autour de l’affaire Bettencourt, instrumentalisées par les gauchistes du bistrot, ont conduit le déjà regretté Eric Woerth à la démission.

Il semblerait que la franc-maçonnerie et la juiverie internationale aient perdu de leur influence dans les cercles de pouvoir. Si l’on en croit les déclarations de François « Akhenaton » Baroin, ministre du budget, les destinées de la République ne sont plus réglées dans les tenues maçonniques ou les synagogues mais au bistrot, lieu assidument fréquenté par nos élites où frayent illustres révolutionnaires de 89, gauchistes et membres du gouvernement.

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Fouquier-Tinville prenait aussi de la Mescaline.

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Fouquier-Tinville prenait aussi de la Mescaline.

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Fouquier-Tinville prenait aussi de la Mescaline.

A l’exemple d’Arnaud Montebourg, que François Baroin assure croiser tous les jours au bar des sports, dès 8h00, et qui a cette « habitude de montrer du doigt et d’être un Fouquier-Tinville et donc chaque matin au bistrot de dire : ‘toi tu es coupable et tu as cette responsabilité’ ». François Baroin nous livre ainsi une stupéfiante révélation historique : Fouquier-Tinville était un pilier de bar. « Son implication dans la condamnation de Charlotte Corday doit être écartée à la lumière des propos de M. Baroin : en fait, Fouquier-Tinville était défoncé à cette heure là », assure l’historien Max Gallo interrogé par la rédaction.

On aurait bien envie de donner raison au ministre du budget, tant le discours politique de ces dernières années ressemble de plus en plus aux commentaires de l’actualité parfois éclairés, souvent obscurs et inaccessibles au profane, qui jaillissent depuis le zinc où se tiennent d’étranges réunions évoquant le devenir de la Nation. Le bistrot est devenu un lieu de pouvoir, entre gens qui savent et qui peuvent. Les réflexions fusent et deviennent projets politiques, presque aussitôt. Une lecture de France Soir ou du Figaro, un débat à bâtons rompus, une conclusion qui tombe : « Un arabe c’est bien, deux arabes c’est trop ». Un coup de téléphone en allant à la pissotière et le lendemain, Brice Hortefeux qui reprend à son compte cette fulgurance de quelques esprits aiguisés par le Muscadet.

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Une idée politique est en train de naître.

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Une idée politique est en train de naître.

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Une idée politique est en train de naître.

Le pouvoir du bistrot ne cesse de croitre, pour le meilleur et pour le pire. Si de ce think-tank post-maçonnique sont issus un nombre important de projets d’avenir qui contribuent au rayonnement intellectuel de la France dans le monde, s’il comprend d’augustes philosophes qui nous gratifient quotidiennement, entre deux cacahuètes, de leurs remarquables productions, à l’image d’un Eric Zemmour, d’un Yves Thréard, d’un Ivan Rioufol, ou même d’une Elisabeth Lévy – saluons à ce titre l’ouverture du bistrot à la gent féminine depuis l’apparition de la Suze et du demi pèche – à l’inverse il obtient trop souvent les têtes de politiques qui ne le méritent pas.

Eric Woerth vient d’en faire les frais. M. Woerth, un ami qui voulait du bien à une grande fortune de France, qui a très légèrement anticipé sur la réforme des lourdeurs de l’administration en évitant à Liliane Bettencourt de remplir une fastidieuse déclaration fiscale, a du démissionner sous la pression du bistrot et plus particulièrement du sinistre Arnaud Montebourg, décrié jusque dans ses propres rangs. « M. Montebourg ne lit pas France Soir mais Mediapart et le Canard enchaîné », révèle Roger K., pilier de la loge du bar « Le Clodo ». Arnaud Montebourg aurait donc travesti la philosophie du comptoir, dans l’unique but d’en faire l’instrument de ses vues politiciennes.

Ce drame politique, qui fait perdre à la France l’un de ses plus brillants ministres, a mis à l’ordre du jour une règlementation attendue des pratiques du bistrot. L’entourage du Président de la République a déjà fait savoir qu’un projet de loi était en préparation, visant à réserver le bistrot à des personnalités «  qui évitent tout polémique stérile et vont dans le sens du progrès ». Le service de presse de l’Elysée, contacté par la rédaction, a poliment refusé de donner davantage de précisions : « T’en veux une, toi aussi ? ». Affaire à suivre.